Un article intéressant lu dans "le journal de l'entreprise", moins par l'attention portée sur un phénomène galopant, que sur le fait que ce syndrome peut concerner tout un chacun dans l'entreprise, salariés, comme dirigeants.
Les rétributions symboliques (pouvoir, responsabilités) en sus des rétributions matérielles et financières, ne peuvent pas obligatoirement constituer des antidotes ou des remparts face à la souffrance au travail. Cela confirme la thèse présentée dans un autre article , sur le rapport existentiel que le sujet entretient avec le travail !
La solidarité du Club des Jeunes Dirigeants qui a soutenu cet homme là, patron au bout du rouleau, est intéressante. Cette solidarité en acte est doublement précieuse :
Ainsi, les frontières de nos représentations tombent. C'est la dimension du social et du solidaire qui surgit dans nos économies ! Il y a de l'avenir... A quand une économie sociale et solidaire généralisée ?
A lire ici :
Journal des entreprises
- Loire Altantique - Vendée
" En un an j'ai résolu des problèmes qui me mettaient en danger et m'empêchaient de vivre ".
Décompenser à 52 ans devant l'annonce de son licenciement... se relever... et relancer son Projet de Vie.
Déficit majeur de reconnaissance : dépression, reconstruction, démission et... nouveau départ !
le CE peut-il aider les salariés qui rencontrent des difficultés de tous ordres ?
Pourquoi le travail peut-il être source de réalisation de
soi, mais aussi de souffrance ?